Parmi les différents régimes pour perdre du poids, le jeûne intermittent a en ce moment le vent en poupe. Avant de l’adopter, il faut en connaitre le principe ainsi que les contre-indications.
Les différents types de jeûne intermittent
Comme l’explique Elleestfit.com, le jeûne intermittent fait partie des régimes minceur qui imposent une restriction calorique, mais alternée. C’est-à-dire qu’on peut manger normalement pendant un certain temps, mais qu’à un moment donné du processus, on ne doit rien avaler à part de l’eau. Il existe 4 types de jeûne intermittent :
– Le jeûne partiel : il consiste à suivre une restriction calorique de 75 % par rapport à votre alimentation normale pendant 24 h. Puis, vous alternez avec 24 h d’alimentation normale.
– Le fasting ou jeûne intermittent 16/8 : votre jeûne durera 16 h sur 24 h, et cela pour une durée déterminée.
– Le jeûne 1 jour sur 2 : vous alternez 24 h de jeûne (pendant lequel vous ne pouvez rien manger. Vous ne pouvez boire que de l’eau.) avec 24 h d’alimentation normale.
– Le régime 5 : 2 : vous choisissez 2 jours de la semaine pour jeûner.
Les avantages du jeûne intermittent
Comme le régime hypocalorique, le jeûne intermittent s’est révélé efficace pour perdre du poids et est bénéfique pour la santé. En effet, il permet de détoxifier l’organisme, d’augmenter la sensibilité à l’insuline dans la mesure où il n’y a plus de grignotage et d’augmenter la combustion de graisses. Cependant, il est proscrit aux personnes souffrant de troubles alimentaires (anorexie) ainsi qu’aux femmes enceintes ou allaitantes.
Le jeûne intermittent peut sembler plus strict qu’un régime hypocalorique. Ce dernier entraine à la longue un affaiblissement de la fonction immunitaire. Quoi qu’il en soit, les nutritionnistes pensent qu’il est aussi intéressant de combiner un régime hypocalorique avec le jeûne intermittent.